lundi 23 novembre 2015

pleine lune.



















à toi qui à vu le jour en pleine nuit. Gros bisous et joyeux anniversaire Loreleï.

dimanche 15 novembre 2015

le sot chichon.





Je n’ai rien à ajouter aux commentaires des journalistes, des politiques, des internautes et ceux du comptoir où mes cafés sont engloutis.
C’est d’un constat dont je voudrais vous faire part.
Voir ces jeunes personnes, en majorité, abattus dans ces lieux de fêtes (stade et salle de spectacle) est un des paradoxes de nos existences, j’allais dire « vies » mais en l’occurrence c’est de morts qu’il s’agit.
Une fin logique pour ces spectateurs, ces passants, les noctambules des terrasses. Logique c’est un mot froid presque comptable qui, si l’on faisait un recensement des mots utilisé dans la poésie, serait quasi absent de la liste.
Le nombre irrationnel (tueurs/victimes) n’est pas incompatible non plus avec cette logique, peu de bourreaux équipés d’armes automatiques, s’affranchissent de  ce paradoxe car eux connaissait bien ces réseaux où armes et stupéfiants transitent par les mêmes endroits et les mêmes mains.
De la fumée des pétards qui se métamorphose en pétards fumants je franchi le pas (qui se tend). La consommation finance l’achat d’un matériel pour conserver un monopole sur un secteur et comme chacun le sait une mitrailleuse ne fait aucune différence entre un gus d’un gang concurent et le client qui s’est approvisionné chez l’un des deux précités.
 C’est un raccourci un peu simplet diront certains et c’est surement le cas. « Légalisons », « Dépénalisons », «raccourcissons-les » scanderont ceux qui ont un avis sur la question. En ai-je un ?
L’alternative réponse que je soumettrai à vos réflexions les plus dubitatives sera en ce qui me concerne, le port obligatoire des moufles généralisé à tous personnes en âge de se trimbaler avec son matos de fumeur ou/et de flingueur. Ainsi plus de tentations de s’en rouler « un » ou de caresser d’un index furtif cette fameuse « queue de détente » (qui peut prendre l’aspect que chacun souhaitera).


Voilà pour les plus doués un aperçu du méli-mélo qui règne
dans ma cervelle, je m’en remettrai.

samedi 7 novembre 2015

jeudi 5 novembre 2015

lundi 2 novembre 2015