lundi 31 janvier 2011

Anouar Brahim - Bahia (Astrakan Cafe)


Zikmu du docu "Ce n'est qu'un début".

Quand et où ? Mais bientôt.


DESSINE-TOI : BANDE-ANNONCE HD
envoyé par baryla. - Regardez des web séries et des films.

Stars and Stripes et patchwork.

 
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Bande annonce - Ce n'est qu'un début


Depuis le temps que je voulais le voir,c'est fait hier après-midi.Débat à la fin.
Quand évoqué le fait de pousser ces marmots dans cette expérience(qui se généralise ailleurs) leur volant peut-être leurs rêves,rires et stupeurs d'un public composé(en grande partie et selon leurs affirmations) de pros de la pédagogie. Suffisance de ces élites, poils à la phlébite. Maigre récolte de photos.

samedi 29 janvier 2011

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Camel de contrebande.

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"Bruno Wiel, 28 ans en 2006, avait été passé à tabac, avant d'être laissé pour mort"
Les quatre tortionnaires de Bruno Wiel ont été condamnés vendredi à des peines de 16 à 20 ans de réclusion criminelle
Ils comparaissaient aux assises de Créteil depuis le 18 janvier pour avoir tenté de le tuer parce qu'il était homosexuel.
Dans la nuit du 19 au 20 juillet 2006, la victime, alors âgée de 28 ans, avait été abordée à la sortie d'un bar gay à Paris par les accusés qui l'avaient conduit dans un parc de Vitry-sur-Seine où il avait été retrouvé agonisant
Voila la justice a passé. A vrai dire elle me sort par les trous de nez.Je ne donnerai pas d'avis sur cette "affaire" d'une je ne la connais pas et de deux paradoxalement elle est sur-médiatisée. Noms des agresseurs conférences de presse de la victime et tour de piste habituel des avocats.
Je ne retiendrai qu'une phrase de ce drame et elle est d'un défenseur: "Ils(les agresseurs) ont toute leur vie pour regretter cet acte".

Victimes elles-mêmes de quelques centimètres de chair et si représentatifs de la virilité sans concessions ? J'ai des doutes.

vendredi 28 janvier 2011

A l'aise steam ?

 
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Ploum.

 
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Le long mur de béton coupé par un escalier ferme la grande cour de la maison centrale de Poissy. Ici sont enfermés 230 détenus, dont 80 % condamnés à des peines de plus de vingt ans de réclusion. Cette cour n'est qu'un vaste vide entre des bâtiments disparates, les uns du Second Empire, d'autres des années 1970, dont un gymnase. Pour l'atteindre, il faut passer par tout ce que l'on peut imaginer de guichets, portiques magnétiques, sas et couloirs à angles droits, jusqu'à déboucher au seuil de cette place vide. Les tableaux sont de l'autre côté, sur leur mur gris.

Etrange lieu pour une exposition. Ce ne sont pas des tableaux, évidemment. Pas en plein air et pas ceux-ci, si célèbres, La Diseuse de bonne aventure, du Caravage, La Madeleine à la veilleuse, de De La Tour. Les dix images alignées côte à côte, chacune au-dessus de son cartel imprimé, chacune avec son éclairage, sont des fac-similés grandeur nature de ces toiles photographiées avec leurs cadres dorés. Des impressions numériques sur aluminium, dont la qualité de reproduction déconcerte encore un peu plus le regard.

Ces dix oeuvres forment l'exposition, intitulée "Au-delà des murs". Elles ont été choisies par des détenus de Poissy, pour ce qui est la première expérience de ce genre. Jusqu'ici, ici comme dans les autres centrales françaises, le cinéma, le théâtre, les arts plastiques, la littérature avaient été régulièrement invités à venir rompre la monotonie des années d'enfermement, mais pas l'activité muséale. Cette nouveauté est le résultat de la collaboration entre le Musée du Louvre et le Service pénitentiaire d'insertion et de probation (SPIP) des Yvelines.

Elle a commencé en juillet 2010 quand la direction de la prison a demandé des volontaires parmi les détenus. Elle en a retenu dix parmi les candidats, dont cinq avaient déjà travaillé dans les ateliers de peinture et de sculpture de la centrale. Ils ont été pris non pour leurs connaissances artistiques, mais pour l'intensité de leur désir. A ces dix hommes, l'équipe du Louvre a présenté 26 oeuvres, sur les 120 pour lesquelles il dispose d'images de très haute définition permettant l'impression sur aluminium. Chacun devait en choisir une, préparer ses pages de présentation pour le catalogue, penser à l'accrochage en composant avec les décisions des autres et les nécessités de l'endroit : accomplir des tâches de commissaire d'exposition, autrement dit.

Henri Loyrette, directeur du Louvre, est venu deux fois discuter avec les dix détenus. L'écrivain Luc Lang a suivi la rédaction du catalogue et l'architecte et scénographe Philippe Maffre a donné des conseils pour la présentation et aidé à la réalisation d'une maquette préparatoire. Mais le choix des oeuvres a été du seul ressort des détenus, choix très varié, du sujet religieux à la marine, de Mantegna à Géricault en passant par Murillo et Patinir. "Nous voulions que les détenus s'emparent du projet, dit Claire Mérigonde, directrice du SPIP des Yvelines. Et c'est ce qui s'est passé."

La sélection s'est décidée entre eux sans peine. La Crucifixion, de Mantegna, a été choisie par deux détenus, L'Arbre aux corbeaux, de Friedrich, a fait mieux encore, réunissant immédiatement les suffrages de trois d'entre eux. Pourquoi ce paysage, éclairé par le couchant ? "Il représente beaucoup pour nous, dit un détenu. Un arbre avec des corbeaux, c'est la lourdeur, c'est la prison." Celui qui présente le Friedrich dans le catalogue en a aussi peint une copie, ajoutant une cellule fermée par des barreaux au pied du chêne. Celui qui s'est arrêté sur le Portrait d'une femme noire, de Marie-Guillemine Benoist, l'a aussi copié, plaçant un collier de fer autour du cou de la femme.

Si certains mettent en avant les couleurs ou la lumière, la plupart reconnaissent que "leur" toile est d'abord une parabole de leur condition. Du Derby d'Epsom, de Géricault, son commentateur fait observer "le paysage, espace de liberté" et voit dans "le poteau d'arrivée, le départ d'une nouvelle vie". La veilleuse de la Madeleine de La Tour "se consume comme notre vie", lit-on dans le catalogue. Quant au Jeune mendiant, de Murillo, le détenu qui l'a choisi y voit fermement l'annonce de la rédemption, l'enfant devant à ses yeux se métamorphoser en "jeune prince".

D'autres donnent des raisons autobiographiques. Ainsi, si la marine de Cuyp Bateaux pris dans l'orage figure contre toute attente dans cette anthologie de chefs-d'oeuvre, c'est qu'elle a rappelé à un détenu une sortie en mer un jour de tempête. "Alors, on est rien. Et ça, ça ne changera pas. En tout cas, c'est ce que j'espère." Devant la surprise que suscite son explication, il continue : "On ne voit pas la même chose que vous." De l'expérience de l'exposition, il retient qu'elle lui a donné les raisons d'aller à la bibliothèque de la centrale chercher des informations. "C'était une évasion - le mot interdit. C'était comme quand je peins ou je sculpte. J'ai la tête qui s'en va."

Détenus, gardiens et initiateurs du projet sont d'accord sur ce point. Si l'exposition a été accrochée dans la cour, c'est parce que la centrale ne dispose d'aucun espace qui permette d'y présenter des oeuvres originales ; mais aussi parce que, de la sorte, elle sera vue jusqu'au 29 avril par tous les détenus, tous les jours, et qu'elle pourra peut-être ainsi avoir des effets bénéfiques.

Philippe Dagen
(Le Monde)

Heike Matthiesen - Spanish Dance No 5, Andaluza

mardi 25 janvier 2011

le bar atteint.

 
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Vive sa liberté.

Un zélé gros pataud croisa une fine et délicate bulle
peu malin le bestiaux s'emmêla les mandibules
expédiant des allô lui demandant « où tu circules? »
un tantinet miro il ne voit pas que son envol , il l' entrave
sacré ballot admet que tu est grave
qu'un souffle chaud la soulève avant que tu ne la gave

Quoi de plus beau qu'une fine et délicate bulle
qui libre au gré du vent circule
au revoir d'un matin sous une semelle de vent
Bzzz...

Child In Time - Deep Purple

lundi 24 janvier 2011

Equilibrage.

 

Faire tourner la roue pour rechercher le balourd, bof facile il tient l'appareil photo.
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Tubcub.

 

Souvenirs d'un pont.
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Ch'ti fond.

 
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At home.

 

Hier déplacement en province pour "SOS plomberie".
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dimanche 23 janvier 2011

post hume cette fragrance.

 

Insectes de tous poils qui marchez tête en bas
écrasés vous serez comme elle me l'a fait
pas d'un coup sec petit à petit
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ce qui me reste d'elle ce temps vide
c'est fini je ne dormirai plus
pour mes rêves
elle fait grêve
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voix... lactée.

 
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samedi 22 janvier 2011

Comme c'est, et tranche.

 
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Si vous avez une idée pour le titre,allez-y.