mardi 31 décembre 2013

dimanche 29 décembre 2013

samedi 28 décembre 2013

merci père Noël.


 La réalité, enfin la mienne se résume à quelques personnages, certains diront personnalités. Faut voir.


Reiser fait partie de ceux qui dans mon Panthéon (c'est décousu dixit Petit Gibus) rentrerai.


Je vous ferai grâce de sa biographie mais ce "fils de boche", comme parfois sa mère le gratifiait, m'a guidé de façon à affronté les autorités et quelques emmerdes du même tonneau.


En plus j'aime le bleu...


Bzzz...

mardi 24 décembre 2013

"l'assiette du pauvre".

Ma grand-mère les soirs de Noël ajoutait cette assiette vide, au cas où.

mercredi 4 décembre 2013

Paul Aussaresses et Jean-Claude Beton ne se seront probablement pas rencontré, ni à la terrasse d’un café où dans une lugubre salle d’interrogatoire. Partis tous les deux à un jour d’intervalle aucun ne livrera l’origine du slogan : « secouez-moi, secouez-moi ». 

lundi 2 décembre 2013

Manouche.















(cliché Jean)

Dit "le mal habillé" en raison de ses pattes blanches d'un coté et fauves en opposé.

mercredi 27 novembre 2013

petit problème.

En réparation pour le moment, mais toujours présent avec le téléphone.
Bzzz...

mardi 26 novembre 2013

cas de conscience.

















(Photo Brice)

Hier départ de Brice pour Bordeaux, mais La Rochelle lui faisait de l'œil.

dimanche 24 novembre 2013

samedi 23 novembre 2013

une de plus. *





















 C'était un 23 novembre ta maman regardait la course de la pleine lune depuis la fenêtre de la salle de travail. Je consultais mes "Gitanes", et puis... "Bonjour me voici."
Un bel anniversaire Loreleï , je t'aime.

(*bougie)

vendredi 22 novembre 2013

lundi 18 novembre 2013

samedi 16 novembre 2013

vendredi 15 novembre 2013

rase motte sur la vierge.




















Lieve Verschuier.


Non ce n'est pas un code mais les dernières nouvelles d'ISON qui frôle (en apparence) la constellation de la Vierge visible depuis l'hémisphère sud.

http://fr.wikipedia.org/wiki/C/2012_S1_(ISON)

(Quelques lignes pour nous présenter ce bolide.)

mercredi 13 novembre 2013

samedi 9 novembre 2013

Elisabeth la culotte à la main.






















                     Siné le qualifie de "torche-cul" ce "Causeur", je m'associe.

La comète ISON devient de plus en plus visible, bientôt à l'oeil nu -- Feu dans le Ciel -- Sott.net

La comète ISON devient de plus en plus visible, bientôt à l'oeil nu -- Feu dans le Ciel -- Sott.net: http://fr.sott.net/article/17604-La-comete-ISON-devient-de-plus-en-plus-visible-bientot-a-l-oeil-nu

mercredi 6 novembre 2013

dimanche 3 novembre 2013

vendredi 1 novembre 2013

jeudi 31 octobre 2013

dimanche 27 octobre 2013

leçon de piano.














(Photo de...)

jeu de bois.

















(Cliché Brice)

Lormont et son quartier Génicart s'est fait un lifting. Nouveaux balcons plus grands, greffés sur les immeubles, isolation thermique remise aux normes actuelles, sanitaires changés ainsi que les réseaux d'évacuation. En tout 1052 appartements sur plusieurs bâtiments. Les locataires y trouveront-ils de nouveaux espoirs dans ce cadre rénové? Le chantier se termine et bientôt les espaces extérieurs seront livrés aux paysagistes qui remodèleront "l’écrin" de verdure.
Brice m'a envoyé cette photo (MMS) où "le jeu de bois" commence à prendre forme, se souvient-il de la cabane que j'avais, pour lui et sa sœur, construite dans cet arbre au fond du jardin (sans planter un clou dedans)?
L'espace est clos pour des raisons évidentes de sécurité, mais bientôt les loupiots et loupiotes viendront sur ces jeux pour s'inventer et imaginer un monde fantastique.
Pourvu que ça marche.

samedi 26 octobre 2013

l'empêcheur de tourner en rond.














Depuis des années les pin-up affichées dans les différents ateliers que j'ai fréquenté m'ont toujours dérangé.
Je crois être à peu près comme le commun des hommes, j'ai des yeux, myopes c'est leur caractéristique.
Je n'étalerais pas ici mes critères en ce qui concerne la gente féminine, que je préfère voir emmitoufler dans des lainages en "cocooning" actif.
Depuis que je suis dans la société qui m'emploie il se trouve que l'un de mes collègues affiche sa "britanophobie" ouvertement, ce qui est son droit, mais souvent mêlée de nostalgie du IIIeme Reich, c'est  là que ça "accroche".
Alors parfois au détour d'une rue je chaparde des affiches où parfois des petits panneaux accrochés au feux tricolores, que j'essaie d'exploiter au mieux des circonstances de l'atelier.
Ainsi dans un placard annexe du vestiaire je stock et à l'occasion et rien que pour mon collègue, j'expose et lui explose. C'est de bonne guerre.
Bzzz...

dimanche 20 octobre 2013

vendredi 11 octobre 2013

















(Céramique de Sandrine Tonnelier)

lundi 7 octobre 2013

lundi 16 septembre 2013

Léviathan, impressions.

..." Son cœur est dur comme la pierre, dur comme la meule inférieure. Quand il se lève, les plus braves ont peur, l’épouvante les fait défaillir. Qu’on l’attaque avec l’épée, l’épée ne résiste pas, ni lance, ni le javelot, ni la flèche. Il tient le fer pour de la paille, l’airain comme un bois vermoulu. La fille de l’arc ne le fait pas fuir, les pierres de la fronde sont pour lui un fétu, la masse, un brin de chaume ; Il se rit du fracas des piques. Sous son ventre sont des tessons aigus : on dirait une herse qu’il étend sur le limon. Il fait bouillonner l’abîme comme une chaudière, il fait de la mer un vase de parfums. Il laisse auprès de lui un sillage de lumière, on dirait que l’abîme a des cheveux blancs. Il n’a pas son égal sur la terre, il a été créé pour ne rien craindre. Il regarde en face tout ce qui est élevé, il est le roi des plus fiers animaux."
(Description de Léviathan par Yahvé à Job)

Voici en partie l'introduction du film de ce dimanche. Les images sont intenses, pas de cadrage tout virevolte autour des caméras, c’est déroutant et rassurant l'humain est présent, mais par petites touches, à sa juste place sur ce chalutier trouant de ses projecteurs la noirceur d'un océan.
Le chalut accouche d'une progéniture multiple en formes et en espèces. Le sang coule et épais et s'agglutine sur les ridelles en bois d'un lieu sacrificiel. Les mouettes se ruent, elles aussi sont du spectacle. Des prises de vues tantôt sous-marines puis émergées ponctuent leur présence.

Parfois un tatouage, un menton piquant des yeux cernés. Des mots, pour l'équipage ils se résumeront au strict minimum. Le capitaine organise micro en main et ses ordres à peine sortis du haut-parleur s'écrasent sur les embruns, dilués.
Le tempo du montage nous immerge dans la violence que  crée et subit l'équipage.

Si le cœur vous en dit et est bien accroché, voir ou ne pas voir, selon la sensibilité de chacun.
Pour clore sur une petite pointe d'humour, au générique de fin est mentionné le nom des participants, équipage et espèces pélagiques inclus.


Bloup!

dimanche 15 septembre 2013

Ison arrive, chouette.

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à Bondy aussi.

vendredi 13 septembre 2013

maman les p'tits bateaux...



En embarquant sur un chalutier pour dresser le portrait d'une des plus vieilles entreprises humaines, Véréna Paravel et Lucien Casting-Taylor témoignent, dans un flot d'images sidérant, de  l’affrontement qui engage l’homme, la nature et la machine. Tourné à l'aide d'une dizaine de caméras numériques ballottées au gré du vent et des vagues, sanglées aux corps des pêcheurs, aux cordages du bateau, gommant tous repères, et où la mer et le ciel finissent par se confondre, ce documentaire nous avertit des menaces de la pêche intensive autant qu'il révèle la beauté foudroyante des entrailles de I’ océan. Film expérimental, « Leviathan est une expérience qui pourra paraître éprouvante pour certains spectateurs. Mais, une fois immergé dans cet univers violemment réaliste, alors il devient hypnotique ».


(Source bulletin Bondy)






jeudi 12 septembre 2013

samedi 7 septembre 2013

je hais les dimanches.

C’est des jours où nous voudrions ne rien savoir, rentrer  dans sa coquille, s’isoler. Des drames des atrocités c’est le lot de nos existences fragiles. Nous avons tous connu les maladies, les accidents de proches et de familiers.
Hier matin le téléphone sonne, plus de surprise le nom s’affiche ce qui permet de situé l’interlocuteur dans son quotidien et ses sensibilités, pour éviter les gaffes c’est toujours ça.
Un ancien collègue tunisien (devait partir en retraite mais qui du fait de sa maladie une tumeur au cerveau ôtée l’an dernier lui confère un statut en longue maladie) me parle. Sa voix je la connais mais à cet instant je la sens chargée de détresse.
Il est à l’hôpital, je lui demande si il est à Sainte-Anne lieu de sa précédente hospitalisation, « non ailleurs, c’est pour autre chose » me répond-t-il. Victime d’un accident causé par un véhicule en marche arrière alors que lui était assis sur un banc.
Je lui demande s’il a eu quelque chose cassé, « non ils m’ont coupé le pied ». Stupéfait je lui demande à quel endroit il se trouve, il me précise le lieu, la chambre, l’étage. C’est le pansement me dit-il je raccroche rapidement je dis à dimanche.
Perturbé j’appelle au boulot pour savoir si les collègues étaient informés de cet accident. Oui me répond Jean un collègue et commence à m’expliquer sommairement le déroulé de ce drame.
Après l’accident qui a eu lieu en Tunisie  c’est à trois reprises qu’il a été examiné par les toubibs, compétents avec les moyens nécessaires, je ne sais pas. Il en est ressorti amputé puis direction la France en vol sanitaire organisé par une compagnie d’assistance.
Aurait-il sauvé son pied si la décision de rentrer plus rapidement  avait été prise ?
Demain c’est un homme époux père de trois grands enfants dont un atteint d’un handicap mental  que je m’apprête à voir, une phrase a retenu mon attention lors de notre conversation téléphonique. Il n’est pas pratiquant sauf pour le jeun, le « c’est dieu qui l’a voulu » m’a surpris.

Pour évoquer ce dieu, car depuis quinze ans je crois bien que c’est la première fois qu’il l’utilise, ses espoirs doivent être remisés bien au fond de son esprit. Du réconfort je ne saurais en apporter, ce sera juste une présence furtive.

mercredi 4 septembre 2013

bonus.


La minute nécessaire par cinemacinemas

Odette comme l'appelait mon frère, je n'ai jamais osé.


































  Le seul vrai luxe que tu revendiquais c'était ton petit déjeuner au lit. Depuis dix ans quelle grasse matinée maman.

Merci Barbara.



















( Laura Knight (1877-1970) peintre britanique.)

l'œuvre est signée en bas à droite sur l'arrière du traînard,juste sous la lunette "à suivre".
Tout y est, le maître de danse, la vis manquante sur la tourelle, les projections d'huile soluble, la couleur du copeau qui varie selon sa température, la rotation du plateau. Je connais l'odeur. Et vous ?

poupée, contre-poupée, poupée.
















Issue d'une iconographie (probablement US), à la gloire des mères, sœurs, filles réalisant les armes que leurs chéris utiliseront contre les forces de l'Axe.
C'est certain, c'est moins chic que les terrasses parisiennes de l'occupation,enfin.

mardi 3 septembre 2013

"à vot bon cœur M'sieur Dame".

















(Cliché chipé à JP.)

Tournage d'une scène du film "Grand départ". C'est courant que ce bout de rue du  18ème arrondissement soit utilisé dans des films ou séries TV.  Je n'ose imaginer le budget pour descendre ces quelques marches.
Particularité de cet escalier il abrite depuis plusieurs années un clochard dont vous pouvez admirer l'installation sur la gauche derrière la rampe. Mon frangin le connaît bien, il a eu son heure de gloire sur France-Inter interviewé par un journaliste en mal d'inspiration. Grandeurs et décadences des feux de la rampe.
Quand au cinéma "Frrrrrrrrrrrancais" j'ai bien une opinion, il ne me fait plus rêver depuis longtemps et encore moins rire.
(J'ose espérer qu'ils ont filé quelques bonnes bouteilles de rouquin au riverain,vu qu'il est monté sur double-corps).

mercredi 28 août 2013

sunrise sur le gars,tôt.














(Cliché Brice,ce matin. Levé de soleil sur l'Italie)

mardi 27 août 2013

"To be, or not to be, that is the question".

Hier il aurait eu 103 ans, nous nous sommes croisés pendant dix ans et je n’ai jamais gardé souvenir d’un mot, d’un geste affectueux.
Y en a-t’il eut ?  Le seul témoin, mon frère, avait des préoccupations d’un âge qui n’était pas encore le mien.

Est-ce le seul héritage ?

samedi 24 août 2013

ça couine.

Aujourd’hui je vais essayer de décrocher un rendez-vous avec l’un des médecins du cabinet auquel  je me rends d’habitude, je ne sais si mon toubib référent est revenu de congés.
Le 14 août un de ses confrères m’a  reçu pour examiner une douleur sise à mon épaule gauche. L’origine de celle-ci m’était parfaitement connue et je lui datais exactement l’évènement et les circonstances.
Le 31 juillet au travail en soulevant bras tendus une charge d’une quinzaine de kilo je ressenti une douleur dans cette fameuse épaule accompagnée d’un claquement. Je m’asseyais car ma tête tournait. Deux minutes plus tard je grimpais chez « la Miss » (DRH) pour y consigner la chose. Deux jours avec cachetons et gel appliqué par mes doigts délicats et zou l’affaire serait oubliée.
Ah ! Enfin les congés et ses grasses matinées jusqu’à 7 heures et tutti quanti. J’en oubliais presque la partie de mon anatomie qui tiraillait, mais adepte du médoc (pas le cru) j’engloutissais mécaniquement tout ce qui est permis d’obtenir sans ordo, jusqu’au 14.
Prescription d’une échographie (je n’aime pas, ils collent trois tonnes de gel et file un confetti pour essuyer) mais c’est le mois d’aout et après de multiples coup de fil (nan, y’en a plus) j’obtenais une date, le 21 et bien loin de mon domicile. Résultats et compte-rendu le lendemain, c’est-à-dire hier.

Voici la conclusion :
« Tendinopathie assez évoluée de la portion distale du supra-épineux au voisinage de son
insertion trochantérienne sans signe de rupture décelée.
Pas de lésion transfixiante visible.
Arthropathie acromio-claviculaire. »
(Que des gros mots)

C’est  maintenant que cela va se corser lundi je dois reprendre le turbin mais j’avoue que physiquement je ne vais pas tenir la distance. Débouler à Clamart pour y demander mon triptyque et décamper aussi sec, ça va jaser à la cambuse. A moins que mon docteur ne m’arrête et là j’aurai les coudés franches.
Bon quand je tombe sur un os, je n’ai pas trop la moelle. Allez zou au téléphone pour décrocher… un rendez-vous.
Bzzz…

vendredi 23 août 2013

la tuile.






















                         Mon cœur battait,enfin il me répondait. Dans l’ascenseur j'ouvrais fébrilement l'enveloppe.
Hélas à la lecture de son courrier j'ai eu ce sentiment qu'il ne voulait que de moi, que ces amours "tarifés".
Je ne suis pas qu'un corps,j'ai aussi une âme.