samedi 26 décembre 2015

symbiose.





Pour ceux qui ne savent pas que "l'autre" c'est eux.

dimanche 20 décembre 2015

lundi 23 novembre 2015

pleine lune.



















à toi qui à vu le jour en pleine nuit. Gros bisous et joyeux anniversaire Loreleï.

dimanche 15 novembre 2015

le sot chichon.





Je n’ai rien à ajouter aux commentaires des journalistes, des politiques, des internautes et ceux du comptoir où mes cafés sont engloutis.
C’est d’un constat dont je voudrais vous faire part.
Voir ces jeunes personnes, en majorité, abattus dans ces lieux de fêtes (stade et salle de spectacle) est un des paradoxes de nos existences, j’allais dire « vies » mais en l’occurrence c’est de morts qu’il s’agit.
Une fin logique pour ces spectateurs, ces passants, les noctambules des terrasses. Logique c’est un mot froid presque comptable qui, si l’on faisait un recensement des mots utilisé dans la poésie, serait quasi absent de la liste.
Le nombre irrationnel (tueurs/victimes) n’est pas incompatible non plus avec cette logique, peu de bourreaux équipés d’armes automatiques, s’affranchissent de  ce paradoxe car eux connaissait bien ces réseaux où armes et stupéfiants transitent par les mêmes endroits et les mêmes mains.
De la fumée des pétards qui se métamorphose en pétards fumants je franchi le pas (qui se tend). La consommation finance l’achat d’un matériel pour conserver un monopole sur un secteur et comme chacun le sait une mitrailleuse ne fait aucune différence entre un gus d’un gang concurent et le client qui s’est approvisionné chez l’un des deux précités.
 C’est un raccourci un peu simplet diront certains et c’est surement le cas. « Légalisons », « Dépénalisons », «raccourcissons-les » scanderont ceux qui ont un avis sur la question. En ai-je un ?
L’alternative réponse que je soumettrai à vos réflexions les plus dubitatives sera en ce qui me concerne, le port obligatoire des moufles généralisé à tous personnes en âge de se trimbaler avec son matos de fumeur ou/et de flingueur. Ainsi plus de tentations de s’en rouler « un » ou de caresser d’un index furtif cette fameuse « queue de détente » (qui peut prendre l’aspect que chacun souhaitera).


Voilà pour les plus doués un aperçu du méli-mélo qui règne
dans ma cervelle, je m’en remettrai.

samedi 7 novembre 2015

jeudi 5 novembre 2015

lundi 2 novembre 2015

samedi 31 octobre 2015

samedi 17 octobre 2015

fourchettes et couteaux.



"Qui a écrit Rouletabille ?" Interrogea le professeur de français à de jeunes arpettes ne songeant qu'à leur clope à griller dans cette cour grillagée d'un CET de la Courneuve ou parfois déposée fumante sur le coin du flipper. Une voix téméraire répondit du fin fond de la salle, "Roule ta caisse m'sieur". Bien des années plus tard cette phrase entendue me fait toujours sourire.

vendredi 16 octobre 2015

aventures potagères.


Le projet

À une époque où certains veulent s’approprier les graines paysannes, où la mode est aux fastfoods et aux réseaux sociaux, on regretterait presque le temps de nos grands-parents.
Chaque été pendant des années, Martin a filmé le potager de son grand-père à Antibes. Dans ce refuge, il est venu se ressourcer, aider, observer et partager des moments de vie avec ses grands-parents. Ils étaient pour lui le repaire indéfectible, comme s’ils détenaient tous deux une part de vérité sur le monde.
Après l’enfer du tournage de son film Super Trash, Martin ressent le besoin vital de se retrouver au potager. Mais ce fragile trésor n’est plus le même : les constructions cernent maintenant le jardin et surtout, sa grand-mère a disparu à jamais des allées.
Issu de cette génération fastfood, Martin prend petit à petit, conscience de la valeur de ce précieux héritage et du danger qui le menace.
Comme un voyage initiatique et rédempteur, Martin se ressourcera à travers la vie quotidienne de ce potager. Son grand-père lui transmettra son savoir et surtout ses graines qu’il sème depuis des décennies sur ce morceau de terre cultivée par amour pour sa femme disparue.
Ces moments vrais et singuliers de leur histoire commune sont incontestablement universels. C’est un hymne à la vie, à la transmission au partage et à cette nature qui appartient à tous et que nous devons protéger.

dimanche 4 octobre 2015

'tite poulette.

























(Autoportrait sans visage de Loreleï)

lundi 28 septembre 2015

objectif lunes.


Une lune qui aurait des influences sur quelques comportements. 
Sur le quai, pour ne pas dire sur le Q quand au bord de Seine, endroit choisi pour bien repérer l'astre c'est un désastre qui s'est livré à mes yeux embrumés.
Myope j'utilise l'appareil sans mes lunettes et l’environnement qui se trouve hors du cadre de celui-ci m'est complètement mystérieux.
Sous l'arche d'un des ponts parisiens mon regard fut attiré par une série de flash mais j'étais loin de me douter de ce qui allait suivre.
J'ai tout d'abord penser à un brave ouvrier consciencieux qui soudait à l'arc mais l'heure et la couleur n'indiquait pas ce genre de prestation.
Un bref instant je me suis rabattu sur l'hypothèse d'un "selfie" réalisé par un clochard destiné à quelques collègues provinciaux.
Et puis... et puis.
C'était une réalité était toute différente et je vous en soumet le constat qui, j'avoue m'a surpris mais non choqué.La fraîcheur automnale fut là et la belle en fit fi.


dimanche 27 septembre 2015

samedi 26 septembre 2015

jeudi 10 septembre 2015

vendredi 21 août 2015

mardi 11 août 2015

acte manqué ?























Hier j'étais à Drancy pour une raison différente de ce qui va suivre mais avec une attente conséquente. Premier objectif prendre un café, dans l'estaminet, le patron au téléphone, mon expresso c'est fait appeler "Désiré», passons (le café, gag !).
Le temps du kawa (non pas ces machines-là) terminé j'entame la remontée ou la descente de cette avenue où jadis un concessionnaire de motocyclettes japonaises me vendait régulièrement les plus beaux spécimens de son catalogue, mais n'ayant plus pignon (de sortie de boite) sur rue pour quelques affaires délictueuses, une banque y trône fièrement (c'est fou comme la "crise" favorise l’expansion de lieu où l'on ne peut retirer cette monnaie de singe).
Continuant mon parcours je me retrouvais vers la tristement célèbre cité de "La Muette" où ce "Camp de Drancy" fut le témoin du plus haut fait d'arme de la police française (pas dans son intégralité, certes). Les murs sont toujours debout et grand nombre d'habitants drancéens y résident. La vie se remet en selle malgré tout. Un wagon juché sur quelques tronçons de rail derrière un monument évocateur de la volonté d'un pays et de ses représentants de se séparer d'une partie de lui-même, une auto-amputation en quelque sorte.
En vis à vis de ces deux lieux le récent musée de la Shoah où à de nombreuses reprises j'avais envisagé d'y faire une visite. L'occasion est là et j'estime être décemment vêtu pour respecter (si si ça m'arrive) la mémoire et la sensibilité de l'endroit (exit tongs, short et casquette zyva). Timidement je m'approche devant les vitres "mercure" qui reflète l'image du visiteur et du wagon en arrière-plan, et je localise un dispositif de sécurité avec interphone et feu rouge et vert. J'appui et quelques secondes après une faible voix me demande "c'est pourquoi ?" "Bonjour, est-ce que le musée est ouvert ?" demande-je.
"Non repassez en septembre", "merci" dis-je.
Conclusion, café passé sur le chemin de fer à repasser. Un tour (encore un) de passe-passe.

jeudi 6 août 2015

rivière Ōta.

























(Cliché Marjorie L-B.)

lundi 3 août 2015

sans trucage, ou si peu.



















Juste pour expliquer le cliché que j'ai déposé sur Défifoto.

mardi 14 juillet 2015

lundi 13 juillet 2015

Rubrique "Sports" de l'Os à Moelle du 30/06/39.



On rejouera au Rugby avec les Britanniques
                    … sur terrains capitonnés.
         Et avec godillots en crêpe Georgette.


Le championnat de France de rugby avait une tête qui ne revenait pas aux dirigeants anglais. Ces messieurs refusaient depuis huit ans de jouer avec nous à cause des coups de pied que cette tête leur avait donnés en 1931. La F. F. R, réunie à Marseille, avait pourtant fait un grand effort en remplaçant le championnat de rugby par un rugby de championnat, mais les Anglais, qui ne sont pas si Britanniques que ça, se sont aperçus que c'était du pareil au même, surtout quand on marchait sur les mains. Tout était à refaire. Déguisé en Ecossais (petite jupe deux pièces autour des épaules, cornemuse sur la tête bagpiper à chaque doigt), je viens aller trouver ces messieurs de la Rugby-Union, j'ai réussi à leur extirper les conditions auxquelles ils consentiraient à recevoir nos coups de savate dans les tibias. Ces conditions, les voici :

TERRAIN.  -Le terrain sera divisé en deux parties : la britannique et la française. Les français n'auront le droit, sous aucun prétexte, de pénétrer sur le territoire britannique. Ils devront botter les buts de leurs poteaux les yeux bandés et en regardant de I ‘autre côté. Les Britanniques auront la faculté de se mettre à cinq pour porter le ballon dans une civière jusqu'aux buts français. La musique jouera Tipperary. Chaque fois qu'un anglais fera une chute, il aura droit à être éventé pendant dix minutes par le président de la F. F. R habillé en danseuse orientale.

ÉQUIPEMENTS. – Le maillot des Anglais sera couleur de gazon. Celui des Français sera de n’importe quel coloris mais devra obligatoirement n'avoir qu'une manche dans laquelle seront les deux bras. Même avantage pour la culotte. Les souliers des Français seront en crêpe Georgette avec crampons à l'intérieur.

RÈGLE DU JEU. -Au coup de sifflet, les Français devront se coucher par terre et faire semblant de dormir. Les Anglais seront transportés en pousse-pousse jusqu'à la ligne des 22m. Les pourboires des pousse-pousse seront payés par la F. F. R. Les poteaux de but français seront abattus, couchés par terre et maintenus au sol pendant qu’un employé de la F.F.R., habillé aux couleurs britanniques, passera le ballon par-dessus la barre.

ACCLAMATIONS. –Les acclamations seront fournies au commandement par le public. Le port en triomphe sera fait par des supporters anglais de bonne volonté qui auront droit au banquet et aux congés payés. 


 Voir.

dimanche 12 juillet 2015

nichon, ni froid.



Bien (ce n'est jamais bon signe quand je commence par "bien") je ne connais pas du tout l'artiste, puisque c'en est une (pas thune) mais elle est prête à bousculer la conception de la "création". Prochaine étape les œufs d'autruche ? Quand aux blaireaux qui immortalisent la "performance" je suis à peu près certain que leurs clichés seront, à leur tour des "chefs-d'œuvre".

Je n'avais aucune obligation de vous soumettre ceci mais cela existe ainsi que l'escroquerie qui y est associée.

et dire qu'elle fait des pointes.


















(Annonce parue dans l'Os à Moelle)

vendredi 10 juillet 2015

patrimoine familiale.

















Mon père est né sur cette place en 1910. Le cliché date d'un peu plus tard et les droits d'auteur enterrés. En effet à qui appartient un paysage, un lieu, une histoire ? A personne à mes yeux ou plutôt à tous.

samedi 20 juin 2015

frichti ou frit ch'ti.




Posted by Jean-Pierre Moutiez on vendredi 19 juin 2015
Attendez quelques secondes pour un bond au siècle dernier.

"Pourtant que la montagne est belle."


vendredi 29 mai 2015

la sirène et ses petits amis.

























(Photo ?)


Mon plus bel anniversaire.

dimanche 17 mai 2015

coup d'œil dans le rétro.

























même les "Fleurs-Belles" ont des racines.