mardi 30 novembre 2010

Gariguettes au trou...

Aujourd'hui j'étoffe mon vocabulaire.
Ce matin dans le cabinet d'ostéopathie qui m'avait été vivement recommandé,par une personne que j'estime, le mot whiplash est apparu ainsi que la résurgence des plaies, gnons, bosses que je me suis affligés lors de mes gamelles et percussions à motocyclette(j'aime pas trop moto)sans additionner ceux distribués gracieusement par "les bleus".
Une heure bien tassée(comme les vertèbres) de mains posées avec modifications de pressions et de positions en partant du sacrum jusqu'à certaines parties du visage.
Je n'ai jamais ressenti pareil apaisement,dans un 1/2 sommeil j'ai vu des fraises(non malgré les apparences je ne suis pas en gestation).
Ah! oui whiplash c'est l'équivalent du coup du lapin, celui que je ne pose jamais.

Glace Wallace.

 

Nation ce matin. Froid au nez, chaud au coeur.
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Avant le Big Bang


Alors quoi de neuf ?

lundi 29 novembre 2010

Taxiway.

Faire le point. Ne suis -je plus moi même ? Ou au contraire je le deviens de plus en plus. Je patine méchamment en faisant du sur place.
Démonter, repérer, réparer, nettoyer, changer si besoin est, remonter.

dimanche 28 novembre 2010

Univer...sale?

L'écriture d'Héléna me laisse perplexe sur la vision (ressenti) que nous nous faisons de ce qui nous entoure ou plutôt « le tout ».
Je n'ai pas les codes, ni le langage des érudits qui soit dit en passant n'en savent pas plus sur cette fondamentale question: « qui sommes nous, d'où venons nous, où allons nous? » dont seul P.Dac avait trouvé la réponse.
Les artistes de tous poils(surtout les peintres(du moins ceux qui n'utilisent ni couteau ni pistolet)) et qui n'en savent pas plus que les précédents utilisent également ces codes et conventions qui les mènes parfois à la démence(pour ceux qui essaient de s'y soustraire) sous les acclamations de spéculateurs avertis.
Un conviction pour ma part cet univers dont n'est qu'une chiure de mouche sur l'immense pare-brise des nouvelles théories que des physiciens évaluent et testent.
Univers au pluriel cela s'écrit kif-kif et seul la vanité de l'homme la décrit dans sa singularité.
Tout ce qui m'amène à écrire cela ne vient pas d'un misanthropie sous-jacente mais du fait que des êtres restent et resteront dans leurs castes supérieures à vouloir nous expliquer comment il faut penser, aimer, mourir. Je n'ai pas assez de haine pour eux alors je les ignore.
Si signor!

lundi 22 novembre 2010

Vol de nuit.

 

La cigogne, sympathique volatile ne rechigne pas à faire ses livraisons la nuit.L'une d'entre elles ,qui date de vingt-deux ans a changé ma vie, mais je n'ai toujours pas déterminé la raison de ce bouleversement.
Joyeux anniversaire ma fille toi qui sait combien j'ai du mal à dire: "je t'aime".
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samedi 20 novembre 2010

Fan de chichourle...



Lundi retour dans l'arène. Durant les périodes de repos nous pensons tous à la reprise d'activité et à la manière de travailler avec le moins de contraintes possibles (Tout en faisant croire le contraire).
Des stratégies s'élaborent selon le but à atteindre, le matériel(Matos)à disposition et du délai demandé.
Quelques un sont réellement compliqués pour un usinage assez simple ils vous font tout un empilage de brides de vis d'écrous etc... Bref ce que dans le jargon nous appelons "Montage à la Dubout" l'illustration du dessus vous laisse imaginer le résultat.
En recherchant des images de Dubout j'ai donc trouvé cette affiche représentant Le Vieux Port et en la détaillant j'ai réalisé que deux fois seulement mes pieds s'y étaient mis.
Avec le recul je trouve ça bizarre.
Il faut que je me creuse le caberlot. Affaire à suivre.

Aurais-je croisé ? Prudence ...



Découvrez Léa Seydoux dans Belle Epine le nouveau film de Rebecca Zlotowski sur Culturebox !

jeudi 18 novembre 2010

Harem altoséquanais.

La vie en rose c'est ce qui m'attend tous les jours de la semaine à Clamart endroit où j'exerce.
En effet étant le seul "monsieur" d'âge mûr disponible et sur le "marché" je me retrouve dans le rôle de Monsieur Consolateur (Mine de rien trois accents circonflexes dans la phrase).
La lourdeur de quelques collègues commence à m'agacer "grave". Vivianne qui travaille dans la société est devenue veuve récemment, elle a deux grands enfants,une fille d'une trentaine d'année et un fils de vingt-quatre ans. La grande est installée, et son fils est étudiant et partage sa vie entre le domicile de sa maman et son logement à Niort.
Au moment des repas il nous arrive de discuter des difficultés que les enfants peuvent rencontrer et échangeons impressions et parfois conseils.
Durant l'hospitalisation de son époux,à St Joseph en oncologie,les premiers mois de 2010, il m'arrivait de la conduire du travail à la porte de Châtillon (Paris) afin quelque gagne du temps et évite le bus toujours bondé à ces heures de pointe.
Bref tous les ingrédients étaient réunis pour que les commérages naissent sur nos disponibilités respectives.
La situation de Vivianne je la connais, ma mère s'étant retrouvée veuve,avec un salaire modeste je lui donne indications, conseils, quand aux démarches pour l'obtention de droits auxquels elle peut prétendre.
Dernièrement une femme mariée d'origine arménienne et de nationalité iranienne est employée dans la société et elle est intérimaire,ce qui aux yeux de quelques uns la classe dans une catégorie proche ou égale à "peanuts".
Le matin son mari la dépose et le soir je la dépose à son domicile porte de Gentilly qui se trouve sur mon trajet de retour car elle ne prend pas de titre de transport.
Re belote sur les ragots, me voici catalogué au rang de sultan ou d'eunuque selon X ou Y. Au cours de la journée moi le taciturne, certaines remarques parviennent à mes oreilles concernant "mon homosexualité"(si cela les amuse) et d'autres détails anatomiques dont je vous fait grâce quand à force de répéter qu'une discussion ou un service rendu à une femme pouvait être dépourvus de toutes arrières pensées.La couche est épaisse et poisseuse et le plus grave c'est qu'elle se transmet aux jeunes qui sont au contacte de ces gentlemen qui gravitent dans la boite.
Ce matin réunion de délégués avec le directeur, pour la énième fois dans le cahier des questions: "Revalorisation des salaires du personnel féminin"
Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage.
Bonne journée et ne lâchez rien.

mercredi 17 novembre 2010

Lecture pour tous.

Voici depuis quelques mois que ce blog noyé parmi tant d'autres se fait une modeste place au soleil(qui est à huit minutes/lumière de notre planète). Tout n'y est pas linéaire, c'est chaotique brouillon limite négligé.
Pas de planification et d'organisation, ce sont des domaines que je me réserve uniquement à usage professionnel ici je rédige dans la décontraction et le minimum vestimentaire requis par la pudeur qui est la mienne(Eh! Oui).
Ce blog n'a pas de visé expansionniste et ne cherche pas à crever les plafonds des connections internet. Il évolue tranquillement comme un petit organisme et a ses périodes fastes et les autres.
Les intervenants, vous, ont peut-être le sentiment que j'ai parfois des réactions désagréables, je n'ai pas d'excuses et si des remarques et critiques sont à me faire ne vous gênez pas,je suis preneur.
Juste une précision depuis 2003 je m'étais enfermé dans un quasi mutisme en dehors de mon job et ici et grâce à vous j'ai repris quelques marques sociales.
De nouvelles personnes se greffent ici-même et repartent au grès de leurs vies(contraintes plaisirs etc...) les routes se croisent se superposent et prennent, c'est leur vocation, des directions diverses ce qui est tout à fait naturel. Quand le sentiment d'avoir froissé ou blessé quelqu'un me prend j'ai du mal à me comprendre. J'accepte le débat voire la remontée de bretelles. Mais la punition qui m'est la plus sévère c'est ce non dit qui me taraude et là je morfle. Bon ceci dit j'en ai vu d'autres.
Je voulais éclaircir quelque peu mon comportement qui n'est pas des plus simples,je le pense.
Pour terminer au mois d'août dernier j'avais pris la décision de me saborder, quelques personnes m'en ont dissuadé, elles m'ont aidé à passer ce cap délicat, merci à elles.
Voilà le cours « normal » de mes humeurs coups de cœur etc ... ici même va reprendre avec son lot de bonnes et mauvaises réactions mais tout espoir n'est pas perdu.
J'espère.

lundi 15 novembre 2010

dimanche 14 novembre 2010

Celeste blague.

Foot au Paradis

Au ciel on organise le match annuel entre l'équipe du Paradis et celui
de l'Enfer.
Jésus, en tant qu'entraineur de l'équipe du Paradis, sélectionne
ses joueurs. Saint Pierre s'approche et demande :
- Dis, Jésus, je pourrai jouer? Je suis un bon attaquant.
- C'est hors de question. Avec ton sale caractère tu vas encore te faire
expulser des le début du match, comme l'année dernière où tu as cassé la jambe
de Belzebuth et empoigné l'arbitre!

Saint Pierre insiste et finalement Jésus cède et accepte qu'il joue mais à la condition absolue que au moindre écart de bonne conduite il sera immédiatement renvoyé à faire le concierge du Paradis.

Le match commence. Jésus, trop occupe par son travail, écoute le match à la
radio depuis son nuage. Tout à coup on entend : "Saint Pierre EXPULSE !"

Saint Pierre apparait immédiatement devant Jésus qui, furibond, lui demande se qui c'est passé.
Saint Pierre lui raconte, encore tout essoufflé :
- Excuse-moi Jésus, voila se qui c'est passé : je venais de récupérer la
balle devant notre goal et je commence à courir vers l'avant, je passe la
balle à l'archange Gabriel, je dépasse deux défenseurs des diables, je
reçois de nouveau la balle (il s'excite de plus en plus en racontant), je
dribble encore deux défenseurs, je passe la balle vers St Paul...
La tension devient épouvantable, même Jésus est pris par le suspens.
- Continue !
- St Paul me renvoie la balle, je suis à la limite du hors jeu, je suis SEUL
devant le gardien, je le DRIBBLE, et je TIIIIRRE.....
- Et... ????
- Et je rate !!!!
- NOM DE DIEU !!! s'écrie Jésus

- Et bien c'est exactement ce que j'ai dit !

Réponses au questionnaire relais de Les Idées Heureuses .

1 Quand vous étiez petit(e), que répondiez-vous à la question : "Et toi, que veux-tu faire quand tu seras plus grand(e) ?"

_Pompier,éboueur,machiniste RATP bref un job avec un beau camion et un bel uniforme.


2 Quels ont été vos BD et dessins animés préférés ?

_Très Tintin petit et plus tard Pilote avec un coup de foudre pour Gai-Luron et Gotlieb.

3 Quels ont été vos jeux préférés ?

_Le vélo pour le sirop des rues c'est le must. Tu agrandis ton rayon d'action.

4 Quel a été votre meilleur anniversaire et pourquoi ?

_J'ai l'oeil qui coule (gloup gloup gloup) c'est celui de mes dix ans une voiture Opel miniature et un stylographe Reynolds que mon père m'a offert.
C'était le dernier cadeau qu'il m'ai fait.

5 Qu'est-ce que vous auriez absolument voulu faire que vous n'avez pas encore fait ?

_Mort j'ai déjà fait (n'y allez pas il n'y a rien à voir),papa c'est fait aussi,cocu je n'est pas été au courant. Rentier ça doit
être chouette.

6 Quel était votre premier sport préféré ?

_Natation avec un niveau correct (je restais à la surface).



7 Quelle était votre première idole de musique ?

_J'ai beau chercher je ne trouve pas de chanteur/teuse.Bécaud et Salvador ressurgissent en réfléchissant(Attention grand moment).


8 Quel est le plus beau cadeau de Noël (ou l'équivalent) que vous avez reçu ?

_J'en ai eu plusieurs, mais mon premier vélo avec dynamo et loupiotes (avant/arrière). Purée les potes étaient jalminces.

Je passe le relais pour répondre à ce questionnaire si elles et ils le veulent bien
aux volontaires.Je ne donne pas de noms.
Bzzz...

Près ce scie tronc.


Puisque que nous sommes dans les souches, pas besoin de s'appeler Mme Soleil pour deviner le sort qui attend ce platane. Aux beaux jours dans le trou du tronc j'y ai vu un oiseau rentrer et sortir, non pas un coucou. Dernier point la devise, pas la maxime (Le Forestier) de Bondy est: " Heureux sous son ombre".
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Cocktail.

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Gold dust.


Ennio Morricone The Ecstasy of Gold live in concert
envoyé par revenger39. - Clip, interview et concert.

Creuset.



Voici l'école primaire du quartier.Située dans la rue où je réside elle est là inamovible. Engloutissant grand nombre d'enfants à la manière d'une ogresse elle les régurgite dans un joyeux brouhaha qui anime le Mainguy (c'est le nom du secteur).


De temps en temps elle change d'alimentation d'une chair tendre elle ne dédaigne pas une catégorie de viande que je qualifierais plutôt de "bidoche" au gré des consultations électorales. Mais c'est juste pour goûter car la proie ne reste pas longtemps.A ces occasions j'y reviens le soir pour dépouiller, discuter, échanger et là l'enfance revient. Il y a de petits groupes qui se forment,d'autres se réfugient dans les angles du préau ou près des radiateurs, sous le fenêtres espérant une libération rapide.


Ces comportements dans un milieu où les règles nous ont été inculquées sont-ils si profondément enracinés? Où est-ce par jeu ou séduction? Je ne sais pas.Je m'y pencherai plus sérieusement à la prochaine occasion.


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vendredi 12 novembre 2010

Codicille.




Après avoir répondu à un petit quizz sur le blog d'Artemisia une BD m'est revenue en mémoire. Elle fait partie des toutes premières si ce n'est LA toute première.
Souvenirs.


Résumé:
M. Pump est un maniaque de la vitesse. Pour lui, il faut que tout aille vite. Tant et si bien qu’un jour, tout milliardaire qu’il est, il trouve la mort sur son autodrome privé dans un accident, alors qu’il roulait à 248 km/h.

Sur son testament, M. Pump a décidé de donner 10 millions de francs à qui réussirait la prouesse technique de faire rallier, par un véhicule à concevoir, Paris à New York à la vitesse moyenne de 1000 km/h.

Les concurrents sont nombreux à vouloir s’attaquer à ce pari technique. Parmi eux, M. Legrand, le père de Jo et Zette, mettra au point le Stratonef H22. Mais des gens peu scrupuleux mettront tout en œuvre pour que son projet capote. Il faut dire aussi qu’en offrant les 10 millions à un éventuel lauréat, M. Pump déshérite d’autant ses neveux...

Sceneario.com

La brute crapahute.

jeudi 11 novembre 2010

Ca a craqué dans son dos, aussi.

Pas d'Oscar. Etonnant.

Wanted. J'ai la musique en tête mais je cherche en vain sur le net.

Pierre Perret
LA PORTE DE TA DOUCHE EST RESTÉE ENTROUVERTE
Paroles et musique: Pierre Perret, 1970


La porte de ta douche est restée entrouverte
Abusant de la situation
D'un oeil inquisiteur d'une prunelle experte
J'ai découvert plaines et monts
Le temple du soleil et la vallée sacrée
Ont disparu sous le savon
Et dans un éclair bleu niché dans la rosée
J'ai vu le mont Gerbier des Joncs
La porte de ta douche est restée entrouverte
Et j'ai cru voir en un instant
Les jardins andalous que piétinaient alertes
Tous les chevaux d'Afghanistan
Et ni les jardiniers ni les faiseurs de pluie
N'ont vu de chef-d'oeuvre aussi beau
Le dessus du panier de votre anatomie
Est une grappe de cadeaux

La porte de ta douche est restée entrouverte
Peut-on ne pas devenir fou
En découvrant parmi quelques lies désertes
Tous les chemins de Katmandou
Et telle une algue souple au fond des mers nacrées
Tu ressemblais à Ophélie
Tes doigts s'ouvrant sur tes jeunes seins de poupée
Comme des roses épanouies

La porte de ta douche est restée entrouverte
Le documentaire était beau
Ces flamants roses avec la culture des fraises
Ont mis la fièvre sous ma peau
Une chanson dorée s'échappait de tes lèvres
Et ça parlait de paradis
Je buvais goulûment ces paroles un peu mièvres
Aux frissons d'amour garantis

La porte de ta douche est restée entrouverte
Quand soudain gonflant mes poumons
J'ai crié au secours à moi au feu alerte
Dans mes bras tu n'as fait qu'un bond
Tu m'as dit sauve-moi on va mourir peut-être
C'était un appel du destin
Que dans ta chambre bleue j'ai suivi à la lettre
Et jusqu'au lendemain matin...

La porte de ta douche est restée entrouverte

Tendresse des chaires.

dimanche 7 novembre 2010

Dialogue du film "Tours du Monde, Tours du Ciel".

Michel Serres : Si vous prenez une sonde et que vous enfoncez votre sonde dans mon corps, derrière mes circonvolutions cérébrales, qui sont à peu près celles d'Homo sapiens, datant de centaines de milliers d'années, il y a des circonvolutions plus profondes que l'on appelait autrefois « le cerveau reptilien » ; ces circonvolutions-là correspondent à une évolution qui a dû avoir lieu il y a quelques millions d'années ; si vous enfoncez la sonde un peu plus profondément, vous allez taper sur l'os : « Qu'est-ce que c'est, cette partie solide ? Ah oui, c'est l'explosion du cambrien ! » À l'explosion du cambrien, les vivants mous ont constitué à l'intérieur d'eux des parties dures, et mes parties dures datent à peu près de cette époque. Mais si vous enfoncez encore jusqu'au niveau cellulaire, vous allez vous apercevoir que je porte des ADN, des ARN, qui eux sont nés il y a 3 800 000 000 d'années ; et si vous enfoncez encore plus dans la molécule, vous allez tomber sur quatre atomes principaux de la vie — c'est-à-dire le carbone, l'hydrogène, l'oxygène, l'azote —, qui ont été « cuits » dans la fournaise des galaxies il y a des milliards d'années. Quel âge j'ai ? Je dois probablement avoir l'âge de l'Univers.

Coquelicot.


Bleuets ici,Poppies là bas.

Julien frère de ... Julien. Quel famille.


En ces périodes curieuses(je m'en fiche)il n'est pas rare d'avoir pour un enfant actuel, plus de quatre grands-parents. Nous n'avions pas les moyens.
Donc mon pépé maternel(oui, juste au dessus avec sa pépé qui est ma mémé, ça va vous suivez.) est revenu également mais avec les poumons sérieusement attaqués.
Détail croustillant, il a le même prénom que son frère. Son papa à l'état-civil était dans un drôle d'état d'où confusion. Deux fils avec un identique prénom c'est d'un chic.

En voiture Simone... Euh ! Coralie,pardon grand-mère.


Blessé au nord de Verdun le 16 mars 1916 (Fort du Mardi-Gras) Canonnier au 103ème régiment d'artillerie lourde - 2ème batterie - Evacué à l'hôpital auxiliaire de Challes les eaux (73),sorti le 7 mai 1916. Rejoint Vernon (27) puis le front de la Somme. Jean-Pierre ton soucis du détail généalogique est sans faille et tu es remonté très loin dans ce temps qui file.
Papa avait 6 ans il devait être fier du sien.Il a eu la chance de le retrouver.
Je me souviens encore de ses moustaches blanches.

Il est encore temps ...

vendredi 5 novembre 2010

Voix céleste pour Solveig... Chut...


Fernand Reynaud - Jeanne D'Arc en 1960
envoyé par rolmops10. - Plus de vidéos fun.
Je vous présente mon cellulaire. Pas de dernière génération il m'avait plu il y a ... Pfuittttt !!!

Un appareil photo avec lequel je pouvais téléphoner c'était exhiber à la face de ce monde de la consommation, de la jouissance immédiate et légitime, mon intégration et ma soumission dévotes aux nouvelles technologies.
Hélas, imperméable aux sollicitations répétés de mon escroc attitré j'ai conservé ce fruit de la recherche et du bon goût "made in France". Pour cette raison il est toujours avec moi.
Enfin, avec moi , faut voir.
En effet je le considère comme un outil pour appeler et non l'inverse. Il est à 99% du temps au chaud à l'intérieur de ma musette (qu'une certaine lectrice décrit comme monstrueuse) ce qui fait que je découvre des messages et appels quelques heures ou ... jours plus tard.
Une réactivité quasi nulle de ma part
J'ai donc décidé , d'un commun accord avec ...moi même et étant d'avis identique de faire bénéficier au ci-dessus nommé, des séances d'UV (A,B, et sous le nez de pré-pubères) et m'engage à le tenir à proximité de ma plus proche présence.
Qu'on se le dise.

Red dingue, pour vous...

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jeudi 4 novembre 2010

Félin pour l'autre?

"L'autre" j'aime pas trop mais pour des raisons évidentes je ne peux pas l'éviter.Posted by Picasa

File amant.

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mercredi 3 novembre 2010

lundi 1 novembre 2010

Loreleï,ton père cet artiste...Hem!! Hem !!


Coucou papa,
Une de tes photos m'a interpellé.


Je sais pas si tu connais l'artiste Alain Delorme, mais il a fait une série de photos qui s'appelle Little Dolls.


"En 2007, il est lauréat du prix Arcimboldo pour la création numérique pour sa série « Little Dolls ». Inspirée de l'esthétique publicitaire, cette dernière porte un regard à la fois ironique et inquiétant sur l'identification des jeunes filles aux stéréotypes féminins occidentaux. Elle questionne aussi sur la place de l’enfant dans notre société.

« Avec ses effrayantes "petites poupées", visages d'enfants indûment vieillis, Alain Delorme a remporté haut la main et à la quasi unanimité l'édition 2007 du Prix Arcimboldo »" - Wikipédia


Bisous

Cupidon en grève...

 
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Pemp.

 
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