Tel père,tel fils...

Je me sens tout d'un coup solidaire du petit Jean S. qui voit s'abattre sur lui cette malédiction.
J'en ai presque les larmes aux yeux, cela me remémore cette expérience douloureuse, qu'il doit, lui aussi subir.
Je glisse ici deux photos d'un nanti dont j'ai, ô joie suprême,habilement exploité la notoriété.
Il est vrai que les média de l'époque avaient étouffé cette affaire.
Tout comme mon papa je parade tout les jours dans ma rutilante tenue de travail.

COURAGE MON PETIT JEAN...

Nostalgie

Revu ce matin. Cela marche toujours.
Navré pour la désynchronisation.

Grand cru de Cuis.

Hier beau temps prévu. Ma "titine" et moi sommes de sortie. Direction la Champagne et ses routes sinueuses bordées de vignes.
Les résidents du cimetière d'Avize ont le droit à leur dernier verre pour la route et elle sera longue d'où la taille exceptionnelle de la bouteille.
Titine était heureuse de s'être dégourdie les pneus et moi un peu crevé.

L'étoffe des Héros.

Laurence à été la plus observatrice. Elle a reconnu de nombreux visages.
Dans son commentaire elle évoque la lune.
Sur ce cliché j'ai une pensé pour Collins toujours relégué à la figuration.
Ici il est tout au fond à 1/2 occulté et la tête dans les nuages.

Happy days.

Allez un petit effort.
Un nom ou deux,ou plus. Ce ne sont pas d'anodins personnages.

Mon héritier est fou. Si,si.

Loreleï,ta soeur a pris ce cliché. Brice mon fils mais tu es fou, purée.
En arriver là. La pension alimentaire que je verse ne permet-elle pas d'acheter un vrai hamac?
En tout cas le prunier accueil deux fruits de plus.
Continuez tous les deux à faire les andouilles. Y a que ça de vrai.
Attention à l'effet catapulte.

Zapette un câble.

Scié que je suis et je m'en remets à peine.
14 juillet à 21h et des broutilles devant mon récepteur TV tout juste allumé,j'entends une musique familière. Joie bonheur c'est celle du générique "tour du monde,tour du ciel". Pour ceux, à qui ce titre n'évoque rien,ce documentaire des années 80,retrace la découverte de l'astronomie par le genre humain et ce depuis belle-lurette.
Et là hélas patatras.Sur l'écran deux types "fashion troufion" tombent du ciel en tandem (pas le cycle,mais la technique).
Merde,me dis-je en voyant l'un des apôtres de St Michel qui ôte ses lunettes.
Encore Drucker avec sa brosse cirant les rangers du colon qui l'attendait sur le green.
Bande de salauds pas touche à la musique de Georges Delerue pour illustrer un docu à la gloire d'unités qui ont torturé en Algérie.