samedi 26 décembre 2015
dimanche 20 décembre 2015
samedi 19 décembre 2015
mardi 1 décembre 2015
dimanche 29 novembre 2015
jeudi 26 novembre 2015
lundi 23 novembre 2015
samedi 21 novembre 2015
mercredi 18 novembre 2015
mardi 17 novembre 2015
dimanche 15 novembre 2015
le sot chichon.
Je n’ai rien à ajouter aux commentaires des journalistes, des politiques, des internautes et ceux du comptoir où mes cafés sont engloutis.
C’est d’un constat dont je voudrais vous faire part.
C’est d’un constat dont je voudrais vous faire part.
Voir ces jeunes personnes, en majorité, abattus dans ces lieux de fêtes (stade et salle de spectacle) est un des paradoxes de nos existences, j’allais dire « vies » mais en l’occurrence c’est de morts qu’il s’agit.
Une fin logique pour ces spectateurs, ces passants, les noctambules des terrasses. Logique c’est un mot froid presque comptable qui, si l’on faisait un recensement des mots utilisé dans la poésie, serait quasi absent de la liste.
Une fin logique pour ces spectateurs, ces passants, les noctambules des terrasses. Logique c’est un mot froid presque comptable qui, si l’on faisait un recensement des mots utilisé dans la poésie, serait quasi absent de la liste.
Le nombre irrationnel (tueurs/victimes) n’est pas incompatible non plus avec cette logique, peu de bourreaux équipés d’armes automatiques, s’affranchissent de ce paradoxe car eux connaissait bien ces réseaux où armes et stupéfiants transitent par les mêmes endroits et les mêmes mains.
De la fumée des pétards qui se métamorphose en pétards fumants je franchi le pas (qui se tend). La consommation finance l’achat d’un matériel pour conserver un monopole sur un secteur et comme chacun le sait une mitrailleuse ne fait aucune différence entre un gus d’un gang concurent et le client qui s’est approvisionné chez l’un des deux précités.
De la fumée des pétards qui se métamorphose en pétards fumants je franchi le pas (qui se tend). La consommation finance l’achat d’un matériel pour conserver un monopole sur un secteur et comme chacun le sait une mitrailleuse ne fait aucune différence entre un gus d’un gang concurent et le client qui s’est approvisionné chez l’un des deux précités.
C’est un raccourci un peu simplet diront certains et c’est surement le cas. « Légalisons », « Dépénalisons », «raccourcissons-les » scanderont ceux qui ont un avis sur la question. En ai-je un ?
L’alternative réponse que je soumettrai à vos réflexions les plus dubitatives sera en ce qui me concerne, le port obligatoire des moufles généralisé à tous personnes en âge de se trimbaler avec son matos de fumeur ou/et de flingueur. Ainsi plus de tentations de s’en rouler « un » ou de caresser d’un index furtif cette fameuse « queue de détente » (qui peut prendre l’aspect que chacun souhaitera).
Voilà pour les plus doués un aperçu du méli-mélo qui règne
dans ma cervelle, je m’en remettrai.
dans ma cervelle, je m’en remettrai.
samedi 7 novembre 2015
jeudi 5 novembre 2015
lundi 2 novembre 2015
dimanche 1 novembre 2015
samedi 31 octobre 2015
samedi 17 octobre 2015
fourchettes et couteaux.
"Qui a écrit Rouletabille ?" Interrogea le professeur de français à de jeunes arpettes ne songeant qu'à leur clope à griller dans cette cour grillagée d'un CET de la Courneuve ou parfois déposée fumante sur le coin du flipper. Une voix téméraire répondit du fin fond de la salle, "Roule ta caisse m'sieur". Bien des années plus tard cette phrase entendue me fait toujours sourire.
vendredi 16 octobre 2015
aventures potagères.
Le projet
À une époque
où certains veulent s’approprier les graines paysannes, où la mode est aux
fastfoods et aux réseaux sociaux, on regretterait presque le temps de nos
grands-parents.
Chaque été
pendant des années, Martin a filmé le potager de son grand-père à Antibes. Dans
ce refuge, il est venu se ressourcer, aider, observer et partager des moments
de vie avec ses grands-parents. Ils étaient pour lui le repaire indéfectible,
comme s’ils détenaient tous deux une part de vérité sur le monde.
Après
l’enfer du tournage de son film Super Trash, Martin ressent le besoin vital de
se retrouver au potager. Mais ce fragile trésor n’est plus le même : les
constructions cernent maintenant le jardin et surtout, sa grand-mère a disparu
à jamais des allées.
Issu de
cette génération fastfood, Martin prend petit à petit, conscience de la valeur
de ce précieux héritage et du danger qui le menace.
Comme un
voyage initiatique et rédempteur, Martin se ressourcera à travers la vie
quotidienne de ce potager. Son grand-père lui transmettra son savoir et surtout
ses graines qu’il sème depuis des décennies sur ce morceau de terre cultivée
par amour pour sa femme disparue.
Ces moments
vrais et singuliers de leur histoire commune sont incontestablement universels.
C’est un hymne à la vie, à la transmission au partage et à cette nature qui
appartient à tous et que nous devons protéger.
dimanche 11 octobre 2015
vendredi 9 octobre 2015
dimanche 4 octobre 2015
samedi 3 octobre 2015
lundi 28 septembre 2015
objectif lunes.
Une lune qui aurait des influences sur quelques comportements.
Sur le quai, pour ne pas dire sur le Q quand au bord de Seine, endroit choisi pour bien repérer l'astre c'est un désastre qui s'est livré à mes yeux embrumés.
Myope j'utilise l'appareil sans mes lunettes et l’environnement qui se trouve hors du cadre de celui-ci m'est complètement mystérieux.
Sous l'arche d'un des ponts parisiens mon regard fut attiré par une série de flash mais j'étais loin de me douter de ce qui allait suivre.
J'ai tout d'abord penser à un brave ouvrier consciencieux qui soudait à l'arc mais l'heure et la couleur n'indiquait pas ce genre de prestation.
Un bref instant je me suis rabattu sur l'hypothèse d'un "selfie" réalisé par un clochard destiné à quelques collègues provinciaux.
Et puis... et puis.
C'était une réalité était toute différente et je vous en soumet le constat qui, j'avoue m'a surpris mais non choqué.La fraîcheur automnale fut là et la belle en fit fi.
dimanche 27 septembre 2015
samedi 26 septembre 2015
vendredi 18 septembre 2015
samedi 12 septembre 2015
jeudi 10 septembre 2015
vendredi 4 septembre 2015
mercredi 2 septembre 2015
dimanche 30 août 2015
mercredi 26 août 2015
vendredi 21 août 2015
jeudi 20 août 2015
mercredi 19 août 2015
mardi 11 août 2015
acte manqué ?
Hier
j'étais à Drancy pour une raison différente de ce qui va suivre mais avec une attente conséquente.
Premier objectif prendre un café, dans l'estaminet, le patron au téléphone, mon
expresso c'est fait appeler "Désiré», passons (le café, gag !).
Le temps du kawa (non pas ces machines-là) terminé j'entame
la remontée ou la descente de cette avenue où jadis un concessionnaire de
motocyclettes japonaises me vendait régulièrement les plus beaux spécimens de son
catalogue, mais n'ayant plus pignon (de sortie de boite) sur rue pour quelques
affaires délictueuses, une banque y trône fièrement (c'est fou comme la
"crise" favorise l’expansion de lieu où l'on ne peut retirer cette
monnaie de singe).
Continuant
mon parcours je me retrouvais vers la tristement célèbre cité de "La
Muette" où ce "Camp de Drancy" fut le témoin du plus haut fait
d'arme de la police française (pas dans son intégralité, certes). Les murs sont
toujours debout et grand nombre d'habitants drancéens y résident. La vie se
remet en selle malgré tout. Un wagon juché sur quelques tronçons de rail
derrière un monument évocateur de la volonté d'un pays et de ses représentants
de se séparer d'une partie de lui-même, une auto-amputation en quelque sorte.
En vis à
vis de ces deux lieux le récent musée de la Shoah où à de nombreuses reprises
j'avais envisagé d'y faire une visite. L'occasion est là et j'estime être
décemment vêtu pour respecter (si si ça m'arrive) la mémoire et la sensibilité
de l'endroit (exit tongs, short et casquette zyva). Timidement je m'approche
devant les vitres "mercure" qui reflète l'image du visiteur et du wagon en arrière-plan,
et je localise un dispositif de sécurité avec interphone et feu rouge et vert.
J'appui et quelques secondes après une faible voix me demande "c'est
pourquoi ?" "Bonjour, est-ce que le musée est ouvert ?"
demande-je.
"Non repassez en septembre", "merci"
dis-je.
Conclusion, café passé sur le chemin de fer à repasser. Un
tour (encore un) de passe-passe.
lundi 10 août 2015
jeudi 6 août 2015
lundi 3 août 2015
samedi 1 août 2015
vendredi 31 juillet 2015
mardi 28 juillet 2015
samedi 25 juillet 2015
mardi 21 juillet 2015
samedi 18 juillet 2015
mardi 14 juillet 2015
lundi 13 juillet 2015
Rubrique "Sports" de l'Os à Moelle du 30/06/39.
On rejouera au Rugby avec les Britanniques
… sur terrains
capitonnés.
Et avec
godillots en crêpe Georgette.
Le championnat de France de rugby avait une tête qui ne revenait pas aux dirigeants anglais. Ces messieurs refusaient depuis huit ans de jouer avec nous à cause des coups de pied que cette tête leur avait donnés en 1931. La F. F. R, réunie à Marseille, avait pourtant fait un grand effort en remplaçant le championnat de rugby par un rugby de championnat, mais les Anglais, qui ne sont pas si Britanniques que ça, se sont aperçus que c'était du pareil au même, surtout quand on marchait sur les mains. Tout était à refaire. Déguisé en Ecossais (petite jupe deux pièces autour des épaules, cornemuse sur la tête bagpiper à chaque doigt), je viens aller trouver ces messieurs de la Rugby-Union, j'ai réussi à leur extirper les conditions auxquelles ils consentiraient à recevoir nos coups de savate dans les tibias. Ces conditions, les voici :
TERRAIN. -Le terrain sera divisé en deux parties : la britannique et la française. Les français n'auront le droit, sous aucun prétexte, de pénétrer sur le territoire britannique. Ils devront botter les buts de leurs poteaux les yeux bandés et en regardant de I ‘autre côté. Les Britanniques auront la faculté de se mettre à cinq pour porter le ballon dans une civière jusqu'aux buts français. La musique jouera Tipperary. Chaque fois qu'un anglais fera une chute, il aura droit à être éventé pendant dix minutes par le président de la F. F. R habillé en danseuse orientale.
ÉQUIPEMENTS. – Le maillot des Anglais sera couleur de gazon. Celui des Français sera de n’importe quel coloris mais devra obligatoirement n'avoir qu'une manche dans laquelle seront les deux bras. Même avantage pour la culotte. Les souliers des Français seront en crêpe Georgette avec crampons à l'intérieur.
RÈGLE DU JEU. -Au coup de sifflet, les Français devront se coucher par terre et faire semblant de dormir. Les Anglais seront transportés en pousse-pousse jusqu'à la ligne des 22m. Les pourboires des pousse-pousse seront payés par la F. F. R. Les poteaux de but français seront abattus, couchés par terre et maintenus au sol pendant qu’un employé de la F.F.R., habillé aux couleurs britanniques, passera le ballon par-dessus la barre.
ACCLAMATIONS. –Les acclamations seront fournies au
commandement par le public. Le port en triomphe sera fait par des supporters
anglais de bonne volonté qui auront droit au banquet et aux congés payés.
Voir.
Voir.
dimanche 12 juillet 2015
nichon, ni froid.
Bien (ce n'est jamais bon signe quand je commence par "bien") je ne connais pas du tout l'artiste, puisque c'en est une (pas thune) mais elle est prête à bousculer la conception de la "création". Prochaine étape les œufs d'autruche ? Quand aux blaireaux qui immortalisent la "performance" je suis à peu près certain que leurs clichés seront, à leur tour des "chefs-d'œuvre".
Je n'avais aucune obligation de vous soumettre ceci mais cela existe ainsi que l'escroquerie qui y est associée.
vendredi 10 juillet 2015
patrimoine familiale.
Mon père est né sur cette place en 1910. Le cliché date d'un peu plus tard et les droits d'auteur enterrés. En effet à qui appartient un paysage, un lieu, une histoire ? A personne à mes yeux ou plutôt à tous.
samedi 27 juin 2015
mardi 23 juin 2015
lundi 22 juin 2015
samedi 20 juin 2015
frichti ou frit ch'ti.
Posted by Jean-Pierre Moutiez on vendredi 19 juin 2015
vendredi 29 mai 2015
mercredi 27 mai 2015
lundi 25 mai 2015
lundi 18 mai 2015
dimanche 17 mai 2015
samedi 16 mai 2015
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