samedi 26 novembre 2016

et l'art c'est du cochon ?























(Cliché piqué au décédé)

Que dire et penser sur une actualité riche en rebondissements ? Chemin faisant vendredi matin à 6 heures le témoignage aux infos, de Flavie Flamant célébrité télévisuelle. Sujet de ses propos, les poses pour David Hamilton artiste photographe amateur ou dirais-je plutôt professionnel d’atmosphères ambiguës et vaporeuses. Le soir même non respect par le principal intéressé de la prescription médicamenteuse du médecin, résultat sans appel.
Le sentiment qui me vient en premier lieu c'est ce malaise de l'alibi artistique pour l'utilisation des corps et de quelques manières que ce soit. Ceux qui en vivent du corps d'autrui sont des maquereaux (que les vrais puissent me pardonner) et ceux qui s'en repaissent sont complices.

Les morts ou vivants qui ont collaboré aux "albums", cartes postales et divers supports à rendement financiers sont complices de ce marché juteux, sans aucun doute.

Ouvrir ou fermé les yeux sur ces perversions à la manière d'un Philippe Val à son partenaire de vingt ans, Patrick Font "that is the question", pourvu que la billetterie, la bien nommée, tourne à plein pot.



vendredi 19 août 2016

jeudi 18 août 2016

copieur.




















La diagonale voire l'hypoténuse, me fut la marque du plagiat.
Singeais-je?
Une expo  où une relation de blog me dit (grosso modo) qu'une connaissance commune m'inspirait sur mes prises de vues et cadrages. Tout est possible puisque le réel n'est que somme d’irréels.

dimanche 14 août 2016

vendredi 15 juillet 2016

blé noir.





Bonjour madame la Lune, vous qui avez inspiré esthétiquement, religieusement, philosophiquement et scientifiquement l'espèce humaine, pour le meilleur et pour le pire. Je verrai toujours en vous de petits bonshommes sautiller sur votre peau boutonneuse. Gamin je vous voyais sur les crêpes que ma grand-mère faisait. Aujourd’hui c'est le crêpe noir que je porte dans mes pensées, pas celle au sarrasin.

vendredi 17 juin 2016

œil pour œil.


(Cliché Jean ou papa c'est selon, je pense qu'il ne s'est pas fait prier pour immortaliser cet instant)

Belle inconnue te souviens-tu de moi qui sans   Ausweis traversait les tentes du Pradet. Sur cet innocent regard à la rétine immaculée des images troublantes s'y sont-elles imprimées?

samedi 11 juin 2016

cadeau mystère.


Joyeux anniversaire Brice.

mercredi 13 janvier 2016

dimanche 3 janvier 2016

la fève aux fayots.

Nous y voilà, les amateurs d'éphémérides et calendars (et j'en connais) vont pouvoir s'en donner à cœur joie. Je les comprends car il fut un temps (celui de mon enfance) où ceux-ci étaient ornés de petites blagues ou dessins bien innocents. Je ne ferais pas étalage des "érotiques" plus ou moins "osés" qui ornaient souvent l'espace de travail ou l’intérieur des portes de vestiaire. Photoshop n’existait pas et bien souvent les modèles restaient l'objet de rêves car les plastiques affichés ainsi que les lieux reflétaient l'inaccessible pour des "traîne-patins" de nos acabits. Désormais il est interdit d'exposer ce type de photo et c'est tant mieux, à vrai dire malgré les apparences cela n'élève pas le niveau.
Les fayots patentés auront la joie de recevoir des fournisseurs de matériel des calendriers plus sages, généralement les outillages présentés sous un aspect de technologie d'avant-garde. C'est à dire tout le contraire de nos réalités. La crème des fayots (un genre d'houmous) percevront les stylos, réglets et babioles diverses les inscrivant un peu plus dans le contingent des "obligés".
Les mêmes se précipiteront dans l'aquarium pour présenter les vœux au "mérou" qui y patauge allègrement se demandant ce qu'il y fait et nous par quel subterfuge ?
Ces quelques mots amers juste pour vous dire que je compte sur vous, de passage, anciens de retour, nouveau à venir, fidèles (mais pas trop) pour que cette nouvelle année soit différente, de pas grand-chose. De ce petit plus qui fait beaucoup.
Mes vœux de joie, bonheur, santé vous accompagnent en sachant que ceux qui les reçoivent en sont responsables et se doivent les faire prospérer.

(Pour mémoire le seul fait astronomique qui pouvait justifier la fête fut celui d'hier 2 janvier et c'était le périhélie de notre bonne vielle planète.)