Second round.
Le 6 juin une nouvelle réunion avec la direction générale du
« groupe » se tenait une fois de plus en Normandie. Il était inscrit
à l’ordre du jour, outre la nouvelle coordination des horaires pour la fusion
des trois sites sur la nouvelle entité baptisée pompeusement « Le Campus »,
le changement de la convention collective, dénoncée par notre employeur (comme
les textes lui autorise).
Les divers commentaires livrés par mes collègues normands en
disaient long sur ce salmigondis que le précédent « propriétaire »
avait organisé pour mieux brouiller les cartes. Ce triste individu se réclamant
d’un « Gaullisme de gauche » était récemment candidat au poste du MEDEF,
la fonction à laquelle il fut nommé par le précèdent locataire de l’Elysée ne lui suffisant pas.
Il aura surement renoncé au trône patronal à cause d’un passé entaché d’irrégularités « morale »
ainsi qu’une mégalomanie qui aurait dû servir de référence au système des poids
et mesures.
Bref, revenons à l’avenir si je puis dire (je le peuxJ), une réunion
fructueuse voici comment je qualifierai la rencontre. Parti avec le sentiment
que ce changement de convention serait néfaste sur plusieurs points je m’étais
contenté d’une lecture de celle-ci sur http://www.legifrance.gouv.fr/
.
Point par point les collègues et moi-même (mégalo contagieuse)
je m’aperçus que l’harmonisation que nous soumettait nos nouveaux dirigeants ne
reprenait que les aspects les plus favorables des trois précédentes sociétés distincts (ancienneté,
primes, la création d’un comité d’entreprise
etc.)
Une relecture du compte-rendu de la précédente réunion ainsi
que l’établissement d’une finalisation le 27 juin concluait ce second round, ma
méfiance était « sonnée ».
2 commentaires:
merci et bon courage pour le 2e rond
je pense à vous
pardon impossible rester plus ordi
:)
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