Drôles de types ces coiffeurs, je les ignore maintenant sauf pour ma barbe. Mon père et ses expressions évoquait "les minutes de perruquier" seul unité de temps qui se dilate à l'infini. Einstein avait de sacrés tifs. Bzzz...
Le commentaire "presque du Chaplin", très bon. Malgré tout le coupe-tifs ici a un p'tit côté pervers, non? Bon il fait pas le coup de l'imper pépère, mais je m'attendais au pire.
11 commentaires:
!!!
heureusement que je ne me coupe pas une mèche à chaque chignon
gloups !
Presque du Chaplin !
Drôles de types ces coiffeurs, je les ignore maintenant sauf pour ma barbe.
Mon père et ses expressions évoquait "les minutes de perruquier" seul unité de temps qui se dilate à l'infini. Einstein avait de sacrés tifs.
Bzzz...
Je me demandais où il allait en finir... Un "es-tête" en mal de tifs !!!
BIZzzzzzzzzz...
Un tiffoso du chignon!
Hâtif à la suivre, nous sommes avec lui, forcément de mèche en regardant ce film.
Le commentaire "presque du Chaplin", très bon. Malgré tout le coupe-tifs ici a un p'tit côté pervers, non? Bon il fait pas le coup de l'imper pépère, mais je m'attendais au pire.
H./S.
Cap hilarité...
Bzzz...
bonne semaine
merci Barbara,avec l'inertie qui me caractérise. Une semaine agréable à toi aussi.
Bzzz...
Sympathique petit film...
Mais comme disait Jules Jouy :
"A quoi sert-il de se faire couper les cheveux puisqu'ils repoussent."
Beau mercredi à Vous Monsieur le bourdon !
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