Bon, je vais vous dévoiler un pan (t'es mort) de ma prime
jeunesse et des activités ludiques qui s'y (Dougou?) rapportent. L'équipe dont
je faisais partie avait une technique bien élaborée pour enquiquiner le
cantonnier qui ouvrait la vanne du haut de cette "Avenue" ou les
pavés se blottissaient au milieu de la chaussée.
Le sable s’accumulait dans les caniveaux en pente qui
menaient au "cul de sac" et pour le chasser l'action de l'eau était
nécessaire pour le mener à l'égout situé à l’extrémité de la rue.
Dès que l'homme était repéré nous concentrions le sable à
l'aide de nos pieds et mains en tas compacts et successifs afin de faire
barrage, ça fonctionnait si bien que le pauvre bougre descendait pour purger
les flaques que nous avions créées. Dans un concert de menaces nous prenions
cette fameuse poudre afin de nous doper, celle d'escampette.
Rentrant au bercail l'on me demandait : " tétéou?"
je répondais : "je jouais au sable" et ma tartine de pain beurré, et copeaux de choco, allait passer un sale quart d'heure.
12 commentaires:
Jeux simples, qui ne demandaient aucune électronique !
ah
la tartine beurrée aux copeaux de chocolat!!
Et les mares aux têtards...
Bonne journée Jeanmi.
Bzzz...
des souvenirs identiques avec l'eau la douche publique de la plage( en vacances )qui devait rejoindre la mer après nombreux barrages et digues
et ch jour recommencer
Barbara j'ai omis la limonade sortant par ce goulot sertie de ce bouchon de porcelaine garni de sa rondelle en "camoutchou".
Bzzz...
Moi je planquais sa brouette à poubelle. A l'occasion je le fais encore.
H./S.
on les a aussi ces souffleurs à feuilles
veinard, les turbo-chou-fleur et ces engins de guerre qui nécessitent cinq litres de carburant pour un kilo de feuille morte ont anéantie ce corps de balai en région parisienne.
Bzzz... Hervé
ils sont "dur de la feuille" mais pas nous Barbara.
Bzzz...
Je me suis toujours demandée si c'était du Mozart ( qu'on assassine) que les souffleurs de feuilles écoutaient...
Nous zaut' on faisait "fumer les chanlattes.
Une chanlatte étant, en Lorraine,une gouttière.
Le principe était de soulever la plaque de fonte au pied du tuyau d'évacuation, de bourrer le trou de papier et d'amorces de pistolets (pour le son) d'y mettre le feu, de reboucher, puis assis confortablement sur le trottoir d'en face, regarder "fumer la chanlatte".
Bon, ensuite quand l'adulte propriétaire de la dite chanlatte voyait la fumée, on n'avait plus qu'à détaler et surtout le soir, dire à la maison qu'on "n'y était pas"... parce qu'en ces temps bénis une fessée n'était pas encore un châtiment corporel passible de sanctions légales.
Nous zaut' on faisait "fumer les chanlattes.
Une chanlatte étant, en Lorraine,une gouttière.
Le principe était de soulever la plaque de fonte au pied du tuyau d'évacuation, de bourrer le trou de papier et d'amorces de pistolets (pour le son) d'y mettre le feu, de reboucher, puis assis confortablement sur le trottoir d'en face, regarder "fumer la chanlatte".
Bon, ensuite quand l'adulte propriétaire de la dite chanlatte voyait la fumée, on n'avait plus qu'à détaler et surtout le soir, dire à la maison qu'on "n'y était pas"... parce qu'en ces temps bénis une fessée n'était pas encore un châtiment corporel passible de sanctions légales.
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