ici et ailleurs une connaissance réalisée j'étais émerveillé. Rencontrée, vue, revue seule avec ses amies à Paris en province, ses expos. Un jour d'acidité je lui écrivais "vous êtes prisonnière". Bien entendu avec le recul l'évidence de nos deux univers ne pouvaient se synthétiser.
Je ne regrette pas, non pas par manque de quelques sentiments, mais avec à l'esprit que j'estime avoir fait le meilleur au moment et que se mettre à mon niveau peut entraîner de sévères lumbagos.
Depuis elle n'est plus prisonnière à mes yeux, elle est otage.
samedi 27 mai 2017
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
10 commentaires:
Comme tu chatches bien l'amour...
Une otage sans chaînes je l'espère :-)
BIZzzzzzzzzzzzz...
Garder au coeur, à l'esprit, ne jamais oublier. Emouvant et super bien écrit.
NB Sans rapport: j'ai écrit "émouvant" et non "captivant".
"l'amour est enfant de Bohème..."
Bzzz... Manouche
pas de chaines Marité, c'est plus pernicieux pour tomber dans le Zampano.
Bzzz...
C'est gravé Michèle.
Bzzz...
Merci Barbara, mais elle est déjà bien entamée alors j'en garde un peu pour lundi prochain.
Bzzz...
bon weekend!
alors !
;o)
☼☼
Joliment exprimé. :-)
Beau week-end à toi, le bourdon. Bises.
bon weekend
Un "drôle" de week-end mêlé de joie et de chagrin, un anniversaire celui de Brice (l'héritier) et d'un terrible verdict concernant l'une de ses tantes. Nos vies sont semblables à ces gymnases sur leur trampoline.
Bzzz...
;o(
bon anniversaire à Brice et bon courage pour le reste
Tout comme le dit Barbara, bon anniversaire à Brice et bon courage pour le reste.
Bises, le bourdon.
Enregistrer un commentaire