sot à l'hélas Styx.

Discrétion hivernale, le bourdon se fige. J'aborde une période charnière (vite de l'huile) ou les choix qui me sont proposés, détermineront le restant de cette vie qui m'a été offerte par la rencontre d'un ch’timi et d'une lorraine à la mère limousine. Mâtiné que je suis, un subtil cocktail de provinces avec l'ensemble des particularités (bonnes et mauvaises) liées aux terroirs d'ascendants (un lien peut-être avec l'excellente blague d'un président instable sentimentalement) voyageurs.
Choisir, je ne sais pas trop faire cet exercice malgré ma mauvaise humeur face aux profiteurs à qui je botterais avec délectation le fondement de leurs convictions, si toutefois...
Choisir, en ce qui me concerne entre une retraite mortifère une activité pro, qui bon an mal an, rempli mon écuelle. Je ne demanderai pas conseil ici, ce n'est pas le lieu, mais c'est une des causes de mes apparitions un peu plus espacées.
Une cause différente est que Brice m'a annoncé qu'il souhaitait épouser une jeune femme (oui, par les temps qui courent c'est plutôt original). Là, j'avoue que je ne sais quoi en penser (de quoi je me mêle ?) ayant une position vis à vis du mariage très opposée et inversement proportionnelle, aux réjouissances momentanées de l'événement et je me demande où j'ai bien pu faillir ?
Paradoxe "la vierge rouge", oui c'est le surnom qui était attribué à sa maman par quelques collègues de l'atelier, est aux anges. Si elle brûle d'impatience c'est que l'enfer, celui dont le chemin est pavé de bonnes intentions, est à portée de main.
Mon unique consolation sera d'exercer mes grimaces auprès de bambino qui me tireront la barbe, vivement cette rencontre.
Bzzz...