samedi 20 octobre 2012

Touristes Bande Annonce (2012)

8 commentaires:

Barbara a dit…

oh oh tu vois des films bien pessimistes sur la nature humaine en ce moment

!!bon dimanche tout de même ☼

manouche a dit…

Alors là ce sont vraiment des vacances!

le bourdon masqué a dit…


J'ai découvert cela dans une rubrique de "Siné-mensuel"

Marité a dit…

Pov' Siné, il est mal en point en ce moment...
BIZZzzzzzzz... la mouche inquiète...

Barbara a dit…

@Marité y a aussi les années 80!!

'Tsuki a dit…

C'est l'idée, en effet, être maître de son destin.

Mais enfin, on ne maîtrise rien, sur cette terre, pas même son destin. On fait des plans, on a des idées, et quand on sera grands, on voudra être pompier, ou infirmière...

Et puis, l'école, les études, les parents, l'entourage, les influences se chargent peu à peu de muter nos plans qui étaient pourtant si absolus à l'époque où on les a fait.

S'imaginer maître de son destin, c'est une idée, une utopie. En vrai, il y a mille choses qui viennent entraver notre progression par rapport au plan qu'on avait fait et qu'on voulait suivre, si le chemin qu'on suit n'est pas le bon.

exemple :

http://laboiteuse.blogspot.fr/2012/10/clandestino.html

le bourdon masqué a dit…

j'ai lu l'échange... Wouf!

'Tsuki a dit…

Bah... C'est lui qui est coincé dans un bled qui s'appelle Vitoria (Victoire), dans l'Etat du Spirito Santo(Esprit Saint, en portuguais) : il est athée ultra pratiquant, donc la coïncidence n'a pas fini de me faire sourire...

C'est amusant à observer. Il nage à contre-courant...

Mais c'est l'exemple-type de ce que j'essaye d'expliquer. Quand on fait un truc qui cloche, dans sa vie, le destin met des bâtons dans les roues, mais quelque chose de violent... Et quand on décide de lâcher prise et d'accepter une autre voie, tout se règle en deux coups de cuillères à pot.