un air de Rantanplan.

Hier dans un documento-reportage j'ai découvert que les tracas de Médor pouvaient-être solutionnés par l'acquisition d'un magnifique objet dont l'harmonie des lignes n'avait, sans doute, d'égal que son prix de vente ou d'achat, c'est selon,suivant la règle de base de tous commerces "il y a un baiseur et un baisé". C'est totalement émoustillé que je continuais à regarder ce sujet préoccupant. Même pas surpris, mais vraiment pas quand le profil social du couple se dessinait, suivez mon regard. Un jeune couple très tendance habitant dans un appartement assez chic se morfondait pour ce "Canis Lupus" domestiqué, le plus lourd, à par mézigues, c'est que le mari assez en retrait (limite incognito) regardait la maîtresse de maison caresser le "Rantanplan" en le désignant au Jack- Russell qui visiblement s'en fichait comme de son premier réverbère.
Je me pose fréquemment cette question, le fric, le flouze, etc... ça ne pousse pas dans les arbres et en voyant ce couple un brin sur orbite, je me demandais, ils entubent qui pour acheter des conneries pareils ?

Je vous fait grâce du descriptif pour le nettoyage du réceptacle en silicone,et qui, cerise sur l'étron canin, peut "passer au lave vaisselle".

(Je ne sais même plus si je dois vous demander de me pardonner pour ma grossiereté. C'est pas moi qui ai commencé).