jeudi 4 août 2011

Van Gogh, Maurice Pialat (1991)

9 commentaires:

Dominique Seidler a dit…

J'avais aimé Dutronc mais j'ai toujours eu un peu de mal avec Pialat et sa façon de réaliser ...

le bourdon masqué a dit…

Ton regard de peintre (mais au fait comment dit-on au féminin ?) te fait analyser les couches successives de la conception d'un film.
Candide le superficiel m'a réjoui.
J'aurai un jour les deux sous de jugeote de l'entignassé, je croise les doigts.
Bises.

P a dit…

L'homme Pialat était peu sypthique, mais quel oeil!!
Alma

le bourdon masqué a dit…

Alma.
"Qu'importe le flacon pourvu qu'on ai l'ivresse", en quelque sorte.
Bzzz...

LE MAMI a dit…

>LBM,
Ne vous détournez pas de ce qui vous porte à graver, fuyez ceux, ce qui vous en détournerait encore. Faites-en votre passe-temps.
Tout cela c'est déjà tourner le dos à l'ordre établi (car c'est encore lui qui vous cloue, vous clouerait sur place.
J'attends vos premières épreuves.
Baltha

Dominique Seidler a dit…

Un peintre, une peintre je crois j'ai jamais entendu vraiment autre chose ... certains ce sont risqués avec "peintresse" mais ce n'est pas très beau ni à lire ni a entendre! bises Dominique

le bourdon masqué a dit…

Du latin "pictor". Dominique il est vrai que trouver un féminin autre que "peintresse"(qui n'est pas terrible)relève de la gageure.
Pictorette ferait penser au friandises chocolatée :-(
Passons vite.
Bises.

Baltha.Je ne promets ce que je suis en mesure de réaliser.
Pourquoi pas une activité encadrée?(ho!ho!ho!) Pour novices cruciformes(re-ho!ho!ho!).

J'vais enquêter.

le bourdon masqué a dit…

"chocolatéeS"

LE MAMI a dit…

LBM,
Faites un effort, trahissez-vous un peu.
Balthazar